Comédies romantiques,  Romans Philosophiques

100 pages blanches – CYRIL MASSAROTTO

Lors de la mort de son grand-père, alors que ses deux sœurs jumelles reçoivent chacune la moitié de l’héritage, le narrateur ne reçoit qu’un carnet vierge de 100 pages. Déçu et perdu dans l’incompréhension, il ne va pas tarder à découvrir en quoi ce carnet est si spécial et si cher aux yeux de son grand-père : il permet à son détenteur de revivre 100 souvenirs.

J’ai découvert ce livre par hasard, et je l’ai ajouté à ma PAL pour les vacances! Finalement, j’ai eu le temps de le lire avant d’arriver à destination : 9h de vol, on a le temps de lire^^, et il faut dire que ce roman n’est pas très gros et se lit très facilement.

L’idée de base m’a séduite : Qui n’aimerait pas revivre certains souvenirs chers à nos cœurs? De plus on se rends compte que ce carnet aide notre protagoniste à réaliser certains aspects de sa vie à améliorer, et à faire les bons choix notamment en amour. En effet, il est à un « entre deux » de sa vie amoureuse, entre Julia son ex qui revient vers lui, et Clarisse qu’il vient de rencontrer.

On se doute quand même de la fin et l’auteur distille de petites pensées philosophiques, qui pourront parler à tous… : la lecture est plutôt sympathique et distrayante, on se laisse porter par l’histoire.

  • Émotions : Oui, on suit les déceptions et les aspirations du personnage principal, ses coups de coeur amoureux, ses hésitations, ect…
  • Action : quasiment pas
  • Suspens : au début un peu, pour tenter de comprendre; mais ensuite la fin nous apparaît clairement assez rapidement

Pour finir, c’est un livre parfait pour les vacances : pas besoin de beaucoup réfléchir, c’est une histoire d’amour et de « magie » qui nous emmène hors du quotidien 🙂 Un peu comme un téléfilm du dimanche après midi, ce n’est donc pas pour rien que ce livre a également servi de base au scénario d’un téléfilm éponyme > voici la bande annonce ici

 

EXTRAITS

« Quelle chance avaient mes grands-parents… J’ai l’impression que cela est réservé aux anciens, qu’aujourd’hui on s’aime quelques années, et puis l’amour s’envole, lentement, comme la vapeur s’échappe d’une tasse de chocolat chaud. Sans que l’on s’en rende vraiment compte. »

« Au bout d’un moment , je lui ai dit qu’elle me fatiguait avec son histoire d’horloge [biologique] ; du coup , un jour , elle est allée demander l’heure au voisin , et elle a eu son enfant .
Avec lui. »

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